Une approche physiologique

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• Les paramètres de coupe (zone du cerveau, angle, épaisseur, etc.) sont spécifiques à chaque projet et garantissent non seulement que tous les types de cellules neuronales et non neuronales endogènes sont présents, mais également que les circuits spécifiques qu'ils forment sont intacts.​

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• La zone cérébrale et le type cellulaire à enregistrer sont donc choisis en fonction de la pathologie ou du paradigme à étudier (ex. hippocampe pour la mémoire/plasticité, amygdale pour la peur/anxiété etc.)

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• De nombreux modèles animaux peuvent être utilisés qui portent des mutations spécifiques ou imitent une pathologie/condition d'intérêt affectant le développement ou le fonctionnement de ces réseaux.

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• Les tranches aigües de cerveau sont une approche largement utilisée et bien étudiée, connue pour fournir des données fiables et reproductibles.​

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• Lien entre les conditions in vitro et in vivo, les tranches organotypiques peuvent être utilisées pour évaluer les effets d'un composé au fil du temps et combinées à des manipulations génétiques telles que l'expression virale d'un shRNA pour silencer une cible putative.

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Pertinent dans de nombreuses situations

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• Les tranches peuvent être utilisées pour enregistrer un type de neurone spécifique (patch-clamp) ou une population neuronale faisant partie d'un réseau plus large (enregistrements de champs).

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• Des manipulations précises (par exemple des marqueurs spécifiques à un type de cellule, des knock-outs, une activation par optogénétique, etc.) peuvent être obtenues en utilisant des animaux transgéniques ou des transfections virales.​

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• Notre expertise couvre un large éventail de structures cérébrales, incluant l'hippocampe, l'amygdale, l'hypothalamus, le néocortex, le bulbe olfactif, la moelle épinière, la substance noire, le cervelet et d'autres.

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